Aller au menuAller au contenu

Archives

Ecologie

Le festival "Commune planète", 1er du nom, se déroulera samedi 25 mai à la Maison diocésaine. Présentation.

D’où vient l’idée de ce festival ?

A la suite des appels de notre pape François, et notamment de la publication de l’encyclique Laudato si’ et plus récemment de l’exhortation Laudate Deum, nous souhaitons regarder le chemin parcouru et réfléchir à comment nous pouvons agir. Car nous avons conscience de la crise que nous traversons et de l’urgence d’agir. La transition écologique nous concerne tous.

Et son nom ?

Ce nom, « commune planète », est celui d’un magazine de l’écologie sur RCF. La productrice de cette émission, Anne Kerléo, nous a donné son accord pour l’utiliser. Il s’agit « d’une émission joyeuse et pleine d'espérance qui apporte un regard lucide sur les questions humaines et environnementales, une émission d'écologie intégrale dans la lignée de l'encyclique Laudato si'. »

Quel en sera le but ?

Ce festival traitera d’environnement, de climat, mais aussi de vie spirituelle et de justice sociale dans les pas de Laudato si’ et Laudate Deum.  Nous espérons également qu’il permettra à chacun de vivre un cheminement intérieur et de renouer avec le vivant.

A qui, par conséquent, s’adressera-t-il ?

Ce festival, ouvert à tous, se veut intergénérationnel car c’est ensemble, et dans une culture de la rencontre et du partage des expériences de chacun que nous pourrons mieux traverser les années à venir. 

« Le défi urgent de sauvegarder notre maison commune inclut la préoccupation d’unir toute la famille humaine dans la recherche d’un développement durable et intégral, car nous savons que les choses peuvent changer » LS13.

Qui pourra-t-on y rencontrer ?

A six mois de l’évènement, le programme nécessite encore des ajustements, mais sans trop le dévoiler, nous sommes en mesure de vous annoncer la présence du Frère franciscain Frédéric-Marie Le Méhauté, ingénieur et docteur en théologie engagé auprès des personnes en précarité, ainsi que la présence d’Elsa Defrenet, une ingénieure agronome de formation. Cette tourangelle a fait le choix de devenir traiteur végétarien et maraichère bio.

Comment ce festival sera-t-il structuré ?

Il y aura des tables-rondes, ateliers, temps spirituels sans oublier la découverte de la Maison diocésaine, un écrin de verdure au beau milieu de la ville. Un de nos partenaires, Gospel Aujourd’hui, donnera, quant à lui,  son concert annuel le 26 mai, un temps musical basé sur le « prendre soin » du vivant.

Pour l’organiser, enfin, avez-vous actuellement besoin de « bonnes volontés » et de gens motivés ? 

Pour la préparation de ce festival, nous avons répartis l’organisation en 7 commissions :

  • Commission Conférence,
  • Commission Ateliers,
  • Commission Communication,
  • Commission Finances,
  • Communication Spiritualité,
  • Commission logistique (dont sécurité et secours),
  • Commission Justice sociale.

Chacun est invité à se joindre dans une des commissions dès maintenant où pour le jour J. Nous accueillons toutes les bonnes volontés !

Propos recueillis auprès de Michèle Guillot, responsable du pôle diocésain des questions écologiques, et de Christelle Colas, coordinatrice du projet